750 grammes
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2 janvier 2012 1 02 /01 /janvier /2012 13:14

 

En ce début d'année je reprends une recette parue en 2009.....!!!! qui me semble d'actualité après ces période festives, quelque chose de simple ........

 

Brik de Saumon à la ratatouille

 

Ingrédients par personne : 2 feuilles de brik, 2cc de ratatouille cuite, 1 filet de saumon, un peu d'huile

 

Montage : huiler au pinceau les 2 feuilles de brik. Étaler les 2cc de ratatouille cuite et poser le filet de saumon dessus. Poivrer et fermer la brik.



Cuire dans un poêle de chaque côté environ 3/4' Servir avec une salade croquante et qq radis ! et voilà un repas complet avec apport d' oméga 3 nécessaire à notre corps.




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4 novembre 2010 4 04 /11 /novembre /2010 10:24

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La saumonette, joli nom pour un poisson à la chair ferme, délicieuse, souvent apprécié des enfants du fait de l’absence d’arrêtes, et bien plus facile à prononcer que : Scyliorhinus canicula son nom de famille, la famille des roussettes, chat …une branche des requins, rien que ça.. !!! Cela faisait longtemps que je ne l’avais pas cuisiné et j’avoue pour les enfants la faire souvent à la crème. J’ai donc testé une variante rien qu’avec des herbes fraîches, des aromates, des oignons et le résultat de ce mélange est parfait et rafraîchissant…faut dire, aussi, que j’ai réalisé cette recette lors de mon séjour à NO… eh oui, cela date de Juin…ma foi, j’ai pas toujours le temps de vous faire partager mes recettes, en direct…alors il vaut mieux tard que jamais.

 

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Pour réaliser cette saumonette aux herbes fraîches, il vous faut :


1 morceau de poisson par personne (on compte environ 150g)
Les herbes de votre choix (persil, menthe, coriandre, poireaux, tiges des oignons nouveaux)
1 botte d’oignons nouveaux
1 cube fumet de poisson
Sel, poivre,
Vin blanc : 1 petit verre
Laver le poisson et les herbes.
Placer le tout dans un plat allant au four.
Four : 200°
Cuire au four durant 25’ environ.
Cette recette est simple et rapide à servir avec des pommes de terre vapeur ou du riz.
Quelques tranches de citron au moment de servir pour exalter les papilles et apporter la touche de Vit C à votre plat.

 

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Moi, j'ai servi le plat tel quel avec des rondelles de citron, mais on peut receuillir tout le jus ainsi que les herbes et passer le tout au mixer afin d'avoir un coulis d'herbes à servir avec le poisson ce qui serait fort sympatique et plus facile à manger pour des enfants par exemple.

 

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abientot 027

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26 octobre 2010 2 26 /10 /octobre /2010 10:53

 

Aile de Raie à la Grenobloise, pomme vapeur….une recette classique

 

Personnellement j’adore l’aile de raie..j’aime cette chair délicate, fine, ….facile à cuisiner. Voici la photo de celle dégustée à La Baule…

 

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La raie est un poisson particulièrement maigre, puisqu’elle ne contient que 89 calories pour 100 g. Les graisses sont présentes en très faible quantité, avec seulement 1 g de lipides pour 100 g. Ce poisson contient ainsi beaucoup d’eau : 78 g pour 100 g de raie.

 

Elle possède des quantités non négligeables de protéines : 22 g pour 100 g. Celles-ci sont essentielles car elles vous apportent non seulement de l’énergie, mais elles contiennent par ailleurs des acides aminés. Ceux-ci sont essentiels pour la croissance, en particulier chez les enfants, et la réparation des tissus de l’organisme. Les protéines contribuent par ailleurs à la défense de l’organisme, car celui-ci les transforme en anticorps.

 

La raie contient d’autre part des vitamines, notamment de la vitamine B1, qui transforme des glucides en énergie. La vitamine B2 transforme en énergie non seulement les glucides, mais également les lipides et les protéines. Une autre vitamine présente dans la raie est la vitamine PP (ou vitamine B3). Celle-ci intervient dans la dégradation du glucose et vous fournit elle aussi de l’énergie. Un apport en vitamine PP permet de diminuer les risques de maladies cardiovasculaires.

 

Ce poisson contient également des sel minéraux en quantité intéressante : potassium, phosphore et magnésium. La raie fournit par ailleurs à votre corps des oligo-éléments, notamment du fer. Ce dernier est indispensable à la fabrication de l’hémoglobine des globules rouges, qui assurent le transport de l’oxygène dans l’organisme.

 

Comptez environ 1 kilo de raie pour 4 personnes. Ce sont essentiellement les ailes de raies que l’on consomme. Mais le foie et les joues sont également recherchés pour leurs qualités gustatives. Ces morceaux sont malheureusement rares.

 

Pendant les dix heures qui suivent sa mort, la peau de la raie se couvre naturellement d’un enduit visqueux, qui témoigne de la fraîcheur du poisson. En effet, lorsqu’on essuie la peau de la raie avec un torchon, cet enduit réapparaît si la raie est fraîche.

 

Elle dégage par ailleurs une forte odeur d’ammoniac, qui provient d’une glande située dans son cartilage. Cette odeur s’accroît avec le temps et indique ainsi le niveau de fraîcheur de la raie. Il est donc nécessaire de l’envelopper dans un film alimentaire. Avant de cuisiner la raie, vous pouvez faire disparaître cette odeur en la rinçant avec de l’eau, puis en la laissant tremper pendant une demie heure dans de l’eau vinaigrée ou citronnée.

 

Pour enlever la peau de la raie sans trop de difficultés, vous pouvez la pocher 2 minutes dans l’eau frémissante. Posez-la ensuite à plat et grattez la peau de chaque côté avec un couteau. Prenez garde néanmoins à ne pas vous faire mal avec les épines qui se trouvent parfois sur les ailes. La chair, lorsque la peau est retirée, doit être légèrement rosée, ferme et élastique.

 

Il faut faire cuire la raie suffisamment longtemps pour qu’elle ne soit pas visqueuse et la servir rapidement, sinon elle devient gélatineuse. La raie est souvent pochée, pendant environ 15 minutes, puis napée de beurre noisette. Vous pouvez également la cuire au four pendant 15 à 25 minutes, ou encore la poêler avec du beurre noir, en la faisant cuire 5 minutes de chaque côté. Ce dernier mode de préparation était autrefois très courant pour la raie, mais les restaurants ne sont plus autorisés à la préparer de cette façon, car le beurre noir est aujourd’hui considéré comme nocif pour la santé.

 

Une autre préparation classique de la raie est avec des câpres et du beurre noisette. Les morceaux de raie peuvent également être sautés, ou encore être accommodés tièdes en salade. Pour conserver les vertus de ce poisson particulièrement maigre, vous pouvez ne pas utiliser de matière grasse pour sa cuisson. Essuyez simplement la raie avec du papier absorbant avant de la faire cuire, ce qui évitera qu’elle adhère au plat.

 

La raie est un poisson cartilagineux, sans arête. Elle vit dans les fonds peu profonds et sablonneux de presque toutes les mers du globe, où elle peut ainsi se cacher des filets des pêcheurs. Ce poisson fait partie de la famille des rajidés et il existe une trentaine d’espèces de raie, qui possèdent chacune leurs propres caractéristiques. Certaines ont la particularité de pouvoir transmettre des décharges électriques ! Toutes les espèces ne sont pas comestibles. La raie bouclée est l’espèce qui est reconnue comme ayant la chair la plus fine.

 

Ce poisson mesure entre 70 cm et 2 m, selon l’espèce. Il a une forme facilement reconnaissable, avec un corps très aplati et des nageoires très développées qui forment des sortes d’ailes. Ces ailes se terminent par une queue longue et mince. La raie possède par ailleurs une large bouche renfermant des dents pointues et tranchantes. Le dos de la raie est gris ou brun, et parfois tacheté. La raie possède sur sa peau des sortes de boucles piquantes qui sont redoutées des pêcheurs.

 

Source : linternaute.com

 

Faites pocher le poisson dans un bouillon bien parfumé.

Faire un beurre noisette et ajouter les câpres égouttées, verser sur le poisson à sa sortie du bouillon.

Servir avec des pommes vapeur et un gros morceau de citron.

Je me suis régalée.

 

 

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18 octobre 2010 1 18 /10 /octobre /2010 11:43

Moules de Noirmoutier pour Yvonne

Lors de mon séjour à Noirmoutier, enfin chaque fois que je peux séjourner au bord de l’eau, je privilégie, le poisson comme nourriture…sauf que dans le Clan des filles du bord de Mer (les Coucougnettes….celles et ceux qui suivent mon blog, s’y retrouveront je l’espère….), mon amie Yvonne, n’est pas « fan » de poisson… !!!!....les moules ca va…me dit-elle…OK !!!.... je fais des moules.

 

no 2010 228

Il vous faut selon l’appétit, soit 1l ou un 1/2l de moules par personne.

Pour le bouillon :

1/2l d’eau

Sel, poivre, piment d’Espelette

1 noix de beurre

1 oignon

1 échalote

1 feuille de laurier

1 peu de vin blanc (souvent je n’en mets pas)

2 citrons jaune bio

1 peu de poireau

1 peu de gingembre frais

 

Faire fondre le beurre et ajouter l’oignon et l’échalote (pelés et coupés en fines lamelles) il s’agit juste de les blondir.

Ajouter l’eau et tous les autres ingrédients, amener à ébullition et cuire durant 10’, afin que tous les sucs soient dans le bouillon.

Laver, gratter les moules et les rincer sous plusieurs eaux, afin d’éliminer le sable (très désagréable en bouche)

Verser les moules dans le bouillon.

Les moules sont cuites dès qu’elles sont ouvertes.

Bien mélanger les moules et le bouillon afin qu’elles s’imprègnent bien des saveurs.

J’ajoute le jus d’un citron juste avant de servir ainsi que du persil frais ou de la coriandre (si j’en ai dans mon réfrigérateur)

 

no 2010 229

Les moules sont excellentes pour le cerveau (dixit mon séminaire sur le cerveau avec France Guillain) alors comme la saison commence, on ne se prive pas.

Mon amie Yvonne, a aimé….et en souvenir voici quelques photos de NO, histoire de prendre un bon bol d’air marin….

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no 2010 081

 

no 2010 024no 2010 082

 

 

LA MOULE….LES MOULES….. à lire…..la suite svp


Avec 119 kcal/100 g, la moule équivaut à la pomme de terre ou aux petits pois en terme d'apport nutritionnel.
Pas franchement diététique, ni très calorique, la moule est en revanche une source prolifique en calcium et en fer. Sa richesse en iode favorise la croissance, ainsi que le développement du métabolisme et du système nerveux.
 

Comme tous les fruits de mer, les moules possèdent une durée de conservation limitée. Fraîches, elles se conservent environ 3 jours, recouvertes d'un linge humidifié. Décortiquées et cuisinées, leur péremption prend effet environ 48 heures après la cuisson. Sinon, les moules peuvent supporter la congélation durant 3 mois, baignées dans leur jus de cuisson.  

La moule se consomme tout au long de l'année. Les nombreux sites d'exploitation mytilicoles dispersés dans le monde offrent une production continue à tous les amateurs de l'"huître du pauvre". Ce sobriquet, un peu péjoratif il est vrai, doit évidemment plus à la profusion du produit et à son prix abordable qu'à son goût parfois un peu rustre.

Extrêmement populaire en France, la moule l'est au moins autant chez nos voisins européens. Chaque année, la Grande Braderie de Lille en est d'ailleurs l'illustration parfaite avec 400 tonnes de moules englouties en deux jours par les badauds.

Les Belges qui préfèrent la moule marinière, cuisinée au vin blanc et servie avec des frites, ont même fait de cette association réussie l'un des symbole de la gastronomie du plat pays.
En Espagne, on la retrouve fréquemment en garniture de la paella lorsque celle-ci combine viande et fruits de mer.
En plus de ces spécialités, en France, on aime à la déguster également en omelette, en gratin, en friture ou à la crème dans la fameuse mouclade.

Avant de les préparer, il est important de veiller à éliminer toutes les moules entrouvertes. Retirer les filaments et toutes les impuretés accrochées à la coquille, en les brossant et en les grattant sous un filet d'eau.
Plutôt que de s'escrimer à retirer les filaments avec les ongles, pensez à utiliser la partie "grattoir" du dos de l'éponge directement sur la coquille de la moule. Par ailleurs, ne jetez pas ces filaments, car ils parfument à merveille le jus de cuisson des moules.

Pour cuire les moules, il suffit de les placer dans une sauteuse ou une cocotte à couvert sur feu doux, après les avoir mouiller au vin blanc. Attention à bien surveiller la cuisson, car les moules ont vite fait de sécher, et deviennent alors caoutchouteuses. Les moules sont prêtes dès qu'elles commencent à s'ouvrir.
En attendant de les servir ou de les utiliser pour une recette, il est recommandé, juste après la cuisson, de conserver les moules dans leur jus pour empêcher qu'elles ne se déshydratent.

En fonction des recettes, la quantité de moules à servir par personne varie sensiblement. En général, pour des moules servis marinières, on compte un bon kilo par personne.
Et, au lieu de se servir d'une fourchette ou de ses doigts, servez-vous d'une coquille de moule vide comme d'une pince afin de déloger le mollusque de son abris. En plus d'être pratique, cette technique ludique amusera les enfants.
 

Histoire : le hasard fait bien les moules
Si la culture de la moule existait déjà du temps des Romains, la mytiliculture ne fût réellement lancée qu'au XIIIème siècle, par l'Irlandais Patrick Walton. De passage en France, et plus précisément dans la baie de l'Aiguillon, il s'aperçut que les piquets, utilisés pour tendre les filets destinés à attraper des oiseaux, croulaient sous le poids de moules venues instinctivement s'y accrocher. Conscient de sa découverte, il décida très vite de développer le procédé et de domestiquer la moule.
 

Culture : la moule est partout
Mollusque bivalve de la famille des mytilidés, la moule, le plus souvent de couleur jaune, s'abrite sous une coquille noire teintée de bleu, longue de 5 à 10 cm. On la trouve aussi bien dans les mers froides de l'Atlantique et de la Manche que dans les eaux chaudes de la Méditerranée.
 

On dénombre environ 70 espèces différentes de moules dans le monde, plus ou moins longues, bombées ou charnues selon leur provenance. Plus petite et tendre que celle de Méditerranée (Mytilus galloprovincialis), la moule commune (Mytilus edulis) se concentre sur du littoral Atlantique jusqu'à la Manche et la mer du Nord. Quant au moules sauvages, dites moules de banches, elles sont plus petites que celles d'élevage, mais très goûteuses.  

Les parcs à moules, les bouchots, s'étendent sur des dizaines de mètres de pieux en chêne de 4 à 6 mètres de haut, dressés dans le sable de l'estuaire en vue d'accueillir les mollusques. De mai à juin, les naissains, larves de moules, sont recueillies par les mytiliculteurs grâce à des cordes tendues entre les piquets de bois. Ces longues cordes sont ensuite enroulées en spirales pour former les pélisses, de longs manchons qui seront couverts de jeunes moules 4 mois plus tard.  

Ces jeunes moules sont ensuite placées sur les bouchots afin de poursuivre leur croissance au gré des vagues. Grâce au byssus, le filament que l'on retrouve sur sa coquille, la moule s'accroche aux rochers comme aux piquets des bouchots.Si les conditions climatiques le permettent, les premières moules pourront être récoltées dès le début de l'été l'année suivante, 2 ans plus tard si l'élevage s'effectue dans les eaux froide du nord de l'Europe.  

Il existe également d'autres techniques d'élevage en fonction des zones géographiques. Dans certaines régions où les bouchots n'ont pu être installés, des cultivateurs ont développé un élevage à plat. Certains vont même jusqu'à produire les moules en pleine mer sur des installations équipées de flotteurs, qui offrent une production globalement plus saine car moins exposée de la pollution du littoral. 

Bien que l'élevage de moules en France garantisse une production importante, le marché français gourmand en importe en provenance des principaux producteurs européens que sont la péninsule ibérique, les Pays-Bas ou l'Italie.  

Les moules se vendent au litre ou au poids, le plus souvent conditionnées en paniers ou en bourriches. On les trouve également en vente en boîte de conserve, comme le thon, natures ou préparées à la tomate.
Si vous les achetez fraîches, veillez à ce que les moules soient bien fermées. Il ne faut pas oublier qu'elles passent leur existence à filtrer de l'eau, ce qui fait d'elles des corps particulièrement sensibles à la pollution marine.

Normalement, chaque bourriche ou panier porte la marque d'un contrôle vétérinaire effectué en amont afin de déterminer si les moules ne présentent aucun danger pour le consommateur.

Pour reconnaître une moule fraîche et bien vivante, il suffit de cogner légèrement sa coquille ouverte et l'observer se refermer lentement
.

 

Source : infos prises sur le net linternaute.com

 

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30 août 2010 1 30 /08 /août /2010 17:27

Alors comment tu vas nous la faire comment cette truite ….. !!!!

J’avoue avoir aucune idée précise …. !!!!!

Un bon produit se trouve au meilleur de sa forme dans une préparation toute simple…

alors ma belle truite sera juste pochée dans un bouillon parfumé......!!!!

Pas vraiment original.....!!!!

Pour le bouillon faire revenir un oignon, des pétales d’ail, du romarin frais, dans une goutte d’huile puis verser 1 litre d’eau et 1 verre de vin blanc (j’ai mis du vin blanc de cuisine….le Chardonnay était pour nous ….. !!!!) ajouter un bouillon KUB de bœuf, laisser mijoter environ 15’, puis déposer la truite et arrêter la source de chaleur.

La truite va cuire par infusion de chaleur en absorbant tous les parfums, au bout de 15’ je la retourne, si le bouillon refroidit, je remets la source de chaleur qq instants, mais attention ne pas faire cuire, la chair de ce poisson est fragile.

J’ai servi avec une ratatouille et du riz au safran…..plein de couleur dans l’assiette afin de faire honneur à cette truite arc-en-ciel.

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il n'est pas nécessaire que le bouillon couvre la truite, juste la moitié cela suffit vous pouvez couvrir avec un papier alu pour conserver la chaleur.......

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eh que oui, nous avons rien laissé au chat .....la preuve, tellement elle était vraiment bonne, une chair rose pale,.....délicieuse à souhait....fondante.....un régal.... Mac Gyver a promis de retourner à la pêche.....bientôt...!!!!!

je vous remercie pour vos "adorables commentaires" qui me rappellent également des souvenirs de famille et surtout des lieux connus ..... l'Alsace.... Ferrette.....que des souvenirs, MERCI à vous

 

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29 août 2010 7 29 /08 /août /2010 10:10

Dans la famille des « Salmonidés », je vous présente la truite arc-en-ciel…..péchée au lancer  du côté de Monteauban par notre Mac Gyver…..(ici aux Mathieux )!!! et quel régal nous allons avoir …. Merci à toi

Les truites vivent dans des eaux claires et vives, on en trouve bcp en Europe, mais également en Amérique du Nord, dans le nord de l’Asie et dans les rivières du Maroc. Elle a été introduite en Australie et en Nouvelle-Zélande. Elle vit longtemps…jusqu’à 7 ans et plus ….et peut atteindre un poids confortable de 30 kg.

 

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la voici avant son plongeon dans la marmitte.....pour 4 filles cela va faire notre repas de midi...avec une bouteille de Chardonney.....!!!!!

 

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5 juin 2010 6 05 /06 /juin /2010 16:45

voici, une autre recette de poisson, de l'an dernier, eh oui .... je ne suis pas encore de retour devant mon écran .... encore un peu de patience ....svp ....

Ils seront délicieux pour les soirées d'été et pas beaucoup de cuisine à faire …. Tout plein de temps pour profiter du soleil.

Ingrédients par personne:

1 maquereau vidé par le poissonnier, 1 carotte, 1 poireau, 1 citron, ail, persil, sel poivre, 1 verre de vin blanc sec.

Faire une "duxelles" avec les légumes (couper en petits morceaux) et les  cuire à la vapeur durant 15'

Bien laver votre poisson, dans le plat qui va au four, poser le poisson et y ajouter la duxelles de légumes précuits, salée pas trop, poivre et vin blanc plus une rondelle de citron et hop au four 180° durant 15/20' 'selon votre four (le poisson trop cuit cela n'est pas bon)


 

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3 juin 2010 4 03 /06 /juin /2010 17:08

Je suis au bord de l'océan ....et, en attendant de vous faire partager mes recettes de poissons .... Noirmoutier version 2010, je me permets de vous  représenter ce Merluchon au citron  fait en Mai 2009 .... pour mes copines "les Filles du bord de Mer"

Le Merluchon .....

Colinot, colin, petit merlu. Ordre des Gadiformes !
Le merlu   a de grands yeux, une grande bouche contenant des dents pointues.
Sa queue est très mince; il possède deux nageoires dorsales et une nageoire anale.
Le terme merluchon est réservé aux poissons de petites tailles.

Il existe plusieurs espèces ayant en commun l'absence de barbillons.
La pêche du merlu est très importante sur les côtes françaises de l'Atlantique. Le merlu blanc, lui se rencontre au Cap (Afrique du Sud) et au large du Chili.
Il est utilisé pour faire le " surimi"

Choisir :
Œil franc, brillant, bombé, corps raide et brillant, ventre ferme. Evitez les poissons aux ouïes roses ou aux orbites enfoncées. Il est généralement présenté non vidé. Son odeur doit être fraîche rappelant la mer, elle ne doit pas être désagréable.

La tête du merlu est excellente pour faire les soupes de poisson. Le merlu, lorsqu'il est cuit en court-bouillon doit être mené rapidement, sa chair fine et délicate est fragile et a tendance à "s'effeuiller". On peut le préparer en terrine, par cuisson au four, etc. Toutes les sauces froides et chaudes lui conviennent : mayonnaise, sauce à base de yaourt, etc ….

Je l'ai fait avec une brunoise de citron : ail-citron-persil frisé mixer ensemble.

Bien laver les poissons entiers évidés et les mettre dans le plat allant au four avec la brunoise de citron. Sel-poivre un peu de vin blanc et cuire dans un four chaud : 200° durant 15/20'

C'est délicieux !

 

 

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15 mai 2010 6 15 /05 /mai /2010 10:03

J'aime beaucoup cuisiné le poisson de cette façon, je fais souvent cette recette "inventée" l'an dernier à Noimoutier ..... pour mon club des "filles du bord de Mer"......comme je reprends cette recette, je n'ai pas beaucoup de boulot pour écrire ce billet, mais pour vous faire partager ma joie lorsque je suis à Noirmoutier (d'ailleurs je compte bien y retourner cette année..... ) voici qq photos de l'an dernier ....

 

Noirmoutier Mai 2009 001

l'océan au pied de la maison,

Noirmoutier Mai 2009 012


l'eau d'un beau bleu intense.....

 

Noirmoutier Mai 2009 040Noirmoutier Mai 2009 041

le port de Noimoutier au repos un dimanche matin .... nous sommes arrivés trop tard pour voir débarquer le poisson surtout la sardines.....alors nous sommes allés boir l'apéro ..... à la Plage des Dames

 

Noir04

cet endroit est très bucolique et on y mange des gaufres au beurre salé, j'en salive encore ....

 

Noirmoutier Mai 2009 065

et le dernier soir, un magnifique coucher de soleil rouge sur l'eau .....je l'ai admiré, couchée dans les herbes ....mais......j'oublie pas de vous redonner la recette :

 

Filet de Saumonette au Jambon de Pays : pour 4 personnes :

1 très beau filet de saumonette : 1k100, 10 tranchettes de lard de Vendée coupées très fines, 1 tomate, 2 champignons de Paris, 1 botte d'oignons nouveaux de Challans, 1 botte de persil frisé, 1 citron, 1 tête d'ail rose nouveau, sel, poivre du moulin, huile de tournesol.

Lavez le poisson et disposez dans un grand plat, puis entourez du lard de Vendée (ou un autre jambon de pays) de tous les légumes, arrosez d'un filet d'huile, sel poivre.

Cuisson au four 200° durant 30/40' environ.

Dégustez avec qq pommes de terre nouvelles, bien sûr nous avons aimé les pommes de terre de Noirmoutier (bonottes et autres primeurs)

Un régal………….. le club des filles du bord de Mer a aimé !

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15 janvier 2010 5 15 /01 /janvier /2010 18:06

fuilletsaum2

Ingrédients par personne :

1 filet de saumon

½ poireau

1 morceau de pâte feuilletée

Sel, poivre Sarawak (poivre de Bornéo en épicerie fine)

1cs de crème épaisse

1 cc d'huile

1 jaune d'œuf

 

Laver le pavé de saumon et le sécher au papier.

Faire une fondue de poireaux : bien laver le poireau et le faire pré-cuire à la vapeur durant environ 30', cuit ainsi les poireaux seront moins chargés d'eau.


poireau

Chauffer la crème épaisse et y ajouter le poireau bien fondu, cuire environ 10' afin que l'ensemble soit bien onctueux, sel, poivre.

Réservez : ce mélange poireau/crème ne doit pas être liquide sinon il détrempe votre feuilleté.

Dans une poêle griller le saumon sur toutes les faces rapidement avec une goutte d'huile.

Réservez

Faire des carrés de pâte feuilletée y déposer un lit de fondue de poireaux puis le saumon et un peu de poireau, bien refermer l'ensemble.

Soudez le tout au jaune d'œuf et dorer le dessus.

On peut décorer les feuilletées avec des chutes de pâte.

J'ai servi ce plat un peu classique avec une sauce Bordelaise classique le tout en fait, pour une fois, mais je crois que mon amie Natacha a bien aimé ?


 

 

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